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Neologica 12 : Lexique : nouveauté et productivité

Neologica 12 : Lexique : nouveauté et productivité

Appel à publication

Lexique : nouveauté et productivité pour Neologica 12

 

    Neologica est une revue annuelle internationale à comité de lecture spécialisée dans la recherche en néologie. Le numéro 12, qui paraîtra en juin 2018, sera consacré à la thématique : Lexique : nouveauté et productivité.  

Il fait suite à une journée d’étude organisé dans le cadre de l’association Conscila http://www.conscila.org/index.php/journees-conscila  sur ce même sujet. Les participants à cette journée, ainsi que tout linguiste intéressé par le sujet (voir argumentaire ci-après), sont invités à soumettre un article de l’ordre de 35 000 signes (maximum 40 000 signes) espaces comprises, selon les normes de la revue, reproduites plus bas.

Le calendrier suivant est arrêté :

Remise des manuscrits : 1er octobre 2017

Retour des relecteurs : 15 novembre 2017

Remise de la version définitive : 15 décembre 2017

Date de parution : juin 2018

 

Les manuscrits sont à adresser à

Jean-François Sablayrolles : jfsablayrolles@wanadoo.fr

et à John Humbley  humbley@eila.univ-paris-diderot.fr

Il est aussi possible d’envoyer des propositions d’article sur la néologie hors thématique pour figurer dans la partie Varia de la revue.

 

Lexique : nouveauté et productivité

Argumentaire

    Le lexique de toute langue naturelle vivante ne cesse d’évoluer, par des obsolescences et disparitions (qui passent la plupart du temps inaperçues sur le moment), et par des innovations qui sont, en général mais pas toujours, plus remarquées. Ces innovations se manifestent par l’apparition de nouveaux signes ou de nouveaux emplois de signes existants. La question se pose dans ce deuxième cas de savoir s’il s’agit du même signe, avec des variations, ou de signes différents (voir l’indissolubilité du signe linguistique de Saussure rappelée, pour les emprunts, par Winter-Froemel, 2009 : 90). Une des tâches des linguistes s’intéressant à la néologie est d’identifier le ou les procédés qui produisent ces nouveautés.

    La productivité des procédés identifiés et des éléments linguistiques en jeu est variable, à un moment donné, et il y a aussi des variations sur la longue durée : des procédés deviennent moins productifs, d’autres apparaissent. Benveniste (BSL, 1966) avait intitulé un de ses articles « Formes nouvelles de la composition nominale ». Alain Rey et Josette Rey-Debove dans la préface du Petit Robert (1993 : XVI) indiquent que « l’époque actuelle invente d’autres procédures pour créer des mots ». Sablayrolles (2003) faisait des constatations analogues. Certaines formations données comme des vestiges, morts et improductifs (les superlatifs synthétiques en -issime par exemple sous la plume de Brunot dans Histoire de la langue française), ont ainsi ressuscité à la fin du 20ème siècle.

    Ces variations sont un des problèmes qui se posent à l’étude de la productivité lexicale. Il y en a bien d’autres qui ont reçu des réponses et des traitements divers. Indiquons-en quelques-uns sans prétendre à l’exhaustivité.

    Le traitement automatique des langues bute sur des unités lexicales absentes des dictionnaires utilisées par la machine. La proportion de mots inconnus serait de 10% d’après Renouf (2014) citée par Cartier (2016). Cette constatation est déjà ancienne et une des solutions qui avaient été proposées était d’entrer dans les dictionnaires électroniques des formes régulières non attestées auparavant ou du moins non intégrées dans la nomenclature des dictionnaires traditionnels. C’est ainsi qu’André Dugas (1990), constatant l’écart entre les dizaines de milliers d’entrées dans les dictionnaires et les centaines de milliers d’unités utilisées dans les énoncés, proposait en 1992 d’entrer les formes possibles préfixées en auto. La plupart des verbes (et des noms d’action dont ils sont la base) peuvent être préfixés par re- pour la répétition. Redormir n’est pas ordinairement une entrée dans les dictionnaires monovolumaires contemporains (mais il y en a une dans Le Nouveau Littré). Son attestation dans un énoncé est-elle pour autant un néologisme ? On peut se poser la question tellement le signe est prédictible et disponible. En revanche si on trouvait reradicaliser pour un terroriste repenti qui aurait été déradicalisé, mais qui se serait à nouveau radicalisé, n’aurait-on pas affaire à un vrai néologisme ? La question des rapports entre productivité, disponibilité, régularité, etc. n’est pas nouvelle et a été abordée, entre autres, par Dal (2003) du point de la morphologie. Elle peut être reprise en se plaçant du point de vue de la néologie, en prenant en compte en particulier ce que des extracteurs comme Logoscope, Néoveille ou Pompamo fournissent comme données, et les calculs que ces outils permettent de faire. Les morphologues de la naturalité (voir entre autres Dressler et alii 1987, Poitou 1984, 1992), etc. s’appuient sur la néologie pour montrer ce qui était naturel (au sens de « non marqué ») dans le système de la langue par rapport à des procédés marqués car moins attendus et moins naturels. Les nouveaux verbes du français appartiennent ainsi au premier groupe, non marqué donc naturel, celui en -er, et la doxa affirme que c’est le seul groupe productif en français contemporain. Mais à côté de cette naturalité générale, indépendante du contexte, les morphologues ont montré l’existence d’une naturalité dépendante du contexte. Un éventuel nouveau verbe monosyllabique en -i- en anglais comme bing formera sont prétérit en -a- (bang) et son participe en -u- (bung), et pas en -ed, formation régulière, par exemple (voir J. Bybee et C.-L. Moder, 1983, cité par Poitou 1988). En français les nouveaux verbes formés sur un base dénommant une matière ou un astre sont du deuxième groupe comme le montrent les récents amarsir et aneigir (« en aneigissant »).

    La solution évoquée ci-dessus de gonfler les dictionnaires avec des entrées pas nécessairement utilisées conventionnellement pose en effet le problème du possible et de l’attesté. Si les lexicologues se sont traditionnellement intéressés au lexique conventionnel, tel qu’il est plus ou moins parfaitement consigné dans les dictionnaires, des morphologues comme Danielle Corbin (1987), et bien d’autres après elle (voir Fradin 2003), ont récusé ce point de vue et lui ont substitué l’étude du système des mots possibles en langue. Cette approche a fait découvrir de nombreuses régularités et de nombreux faits. Mais les notions de néologisme et de productivité ont alors perdu en grande partie leur validité (puisque celle-ci ne peut guère se mesurer que sur l’attesté : telle règle est plus souvent activée que telle autre, tel élément est plus employé qu’un autre, concurrent, etc.) alors que les morphologues de la naturalité (voir supra) en avaient fait un point fort de leur approche de la morphologie lexicale, et ce n’est pas sans intérêt, pour mettre en relief ce qui est vivant et productif, ce qui l’est moins et ce qui ne l’est plus du tout à une époque donnée. Et, pour cela, les néologismes fournissent des outils précieux (c’est ce que Sablayrolles 2000 appelle des néologismes-outils par opposition aux néologismes-objets, données linguistiques incontournables que tout modèle linguistique doit pouvoir traiter). Les hapax, occasionalismes (voir Dal et Namer 2016), premières occurrences de néologismes qui se diffuseront éventuellement après leur création comme ceux dont la diffusion est déjà commencée sont autant d’éléments à prendre en compte dans cet objectif de mesure de la productivité. Par ailleurs le passage du possible à l’attesté à un moment donné dans des circonstances énonciatives précises ne peut être négligé et mérite d’être étudié d’un point de vue linguistique, par des linguistes. Sinon, qui le fera ?

    De plus, avec le temps et leur circulation, les unités lexicales ont tendance à voir leur sens évoluer et à se démotiver. S’est posée et se pose encore alors la question de savoir si les lexies sont créées à chaque emploi par les règles (cela a été la solution dans les débuts de la grammaire générative transformationnelle, voir encore Halle 1973) ou si, même complexes construites, elles ne sont pas répertoriées dans des dictionnaires mentaux, quelles que soient leurs formes. Les règles de construction des mots fonctionneraient en revanche très bien pour les néologismes, dont le sens est le plus souvent compositionnel. C’est à une solution de ce type qu’arrivait Jackendoff 1977 pour qui les « règles de redondance », formulées pour traiter les régularités observées entre des mots mémorisés comme des touts, servaient à la création de nouvelles unités lexicales. Sur tous ces points voir Sablayrolles (2000 : 3.1.2.2.). Paradoxalement, les règles de formation des mots tirées des mots existants conventionnellement ne servent pas alors à en rendre compte mais elles servent, secondairement, pour la construction de mots nouveaux, et les RCM formulées par D. Corbin seraient très utiles pour rendre compte des néologismes, dont elle récusait la pertinence (Corbin, 1975), mais beaucoup moins pour les lexies conventionnelles qui se chargent d’idiosyncrasie et dont beaucoup doivent être traitées dans un module spécifique, au sein de son modèle associatif et stratifié (Corbin, 1988).

    Ces questions portent sur la productivité morphologique, mais elles s’appliquent également à la productivité sémantique, avec la polysémie régulière, du type des noms abstraits d’action susceptibles dans certains cas de renvoyer à ce qui est créé par l’action. Le passage du singulier au pluriel facilite ce passage sans en être toutefois une condition nécessaire (la construction d’un immeuble / des constructions, mais une construction peut aussi être un concret : la construction s’est effondrée). Se pose en revanche la question de savoir si les évolutions de sens, par extension ou restriction, relèvent de la productivité. En tout état de cause, contrairement à ce qui est souvent dit et écrit, ces évolutions ne semblent pas relever de la néologie au sens propre, mais il n’y a pas unanimité de la communauté linguistique à ce sujet. Et c’est un point à débattre.

    Le n° 12 de la revue Neologica (2018) accueillera les actes de la journée Conscila consacrée au thème de la nouveauté et de la productivité au niveau du lexique, appréhendé du point de vue de la néologie ainsi que d’autres contributions sur ces problématiques.  Il a pour objet d’exposer les problèmes qui se posent à ce sujet, tant en morphologie qu’en sémantique, tant en synchronie qu’en diachronie, tant en français que dans d’autres langues.

 

Éléments de bibliographie

 

Baayen Harald, 1992, "Quantitative Aspects of Morphological productivity". In Booij Geert & Jaap van Marle (eds.) Yearbook of Morphology 1991. Dordrecht (The Netherlands): Kluwer Academic Publishers, pp. 109-149

Baayen Harald, 1993, "Discussion on frequency, transparency and productivity". In Booij  Geert & Jaap van Marle (eds.) Yearbook of Morphology 1992. Dordrecht (The Netherlands): Kluwer Academic Publishers, pp. 181-208

Bauer Laurie, 2001, Morphological Productivity. Cambridge: Cambridge University Press

Bauer Laurie, 2005, "Productivity: Theories". In Štekauer , P. & R. Lieber (eds.) Handbook of word-formation. Dordrecht: Springer, pp. 315–334

Bréal Michel, [1897] 2005, Essai de sémantique, Paris, Hachette, rééd. Lambert Lucas.

Cartier Emmanuel, 2016, « Neoveille, système de repérage et de suivi des néologismes en sept langues », Neologica n°10, p. 101-131.

Corbin Danielle, 1975, « La notion de néologisme et ses rapports avec l’enseignement du lexique », Bulletin de recherche sur l’enseignement du français (BREF) nouvelle série n° 4, 1975, p. 41-57.

Corbin Danielle, 1987, Morphologie dérivationnelle et structuration du lexique. Tübingen : Max Niemeyer Verlag., ainsi que beaucoup d’autres articles d’elle.

Corbin Danielle, 1988, « Pour un composant lexical associatif et stratifié », D.R.L.A.V. n° 38, p. 63-92.

Dal Georgette et Namer Fiametta, 2016, « À propos des occasionnalismes », 5ème Congrès mondial de Linguistique française, actes disponibles en ligne.

Dal Georgette, 2003, voir infra Langue française : son article et présentation du numéro ainsi que sa bibliographie

Dressler W.-U., Panagl O., Mayerthaler W., Wurzell W.-U., 1987, Leitmotivs in natural morphology, Studies in language companion series 10, John Benjamins publishing company, Amsterdam.

Dressler , WolfgangU, 2007, "Productivity in word-formation". In Jarem , G. & G. Lobben (eds.) The mental lexicon. Core perspectives. Amsterdam: Elsevier, p. 159–183.Dugas André, 1990, « La création lexicale et les dictionnaires électroniques », Langue française n° 87, p. 23-29.

Dugas André, 1992, « Le préfixe auto- », Langue française n° 96, Décembre 1992, p. 20-29

Fradin Bernard, 2003, Nouvelles approches en morphologie, PUF.

Langue française n° 140, 2003, sous la direction de Georgette Dal en particulier son article « Productivité morphologique: Définitions et notions connexes »  p. 3-23, qui fait l’état de la question et propose une importante bibliographie. De  brefs comptes rendus des articles de ce numéro ont été élaborés par John Humbley dans la Bibliographie de la néologie du n° 1 de Neologica, 2007, p. 203-218.

Gérard Christophe et Kabatek Johannes, 2012, « Introduction : La néologie sémantique en question », Cahiers de lexicologie n° 100, p. 11-36. (et toute la partie thématique qu’ils ont coordonnée dans ce numéro).

Halle Morrris, 1973, « Prolegomena to a theory of word formation », Linguistic inquiry  4 –1.

Jackendoff Ray, [1975] 1977, « Régularités morphologiques et sémantiques dans le lexique », 1975, trad. Franç. Dans Langue théorie générative étendue Ronat M. éd, Paris, Hermann, 1977.

Jacquet-Pfau Christine et Sablayrolles Jean-François éds, 2016, La fabrique des mots français, Limoges, Lambert Lucas.

Guilbert, Louis,1975, La créativité lexicale. Paris : Larousse

Meillet Antoine, [1905-1906] 2015, « Comment les mots changent de sens », L’année sociologique 1905/1906, repris dans Linguistique historique et linguistique générale, Paris, Champion, 1921 et 1982. (p. 231-271) et Lambert Lucas 2015, p. 308-349.

Molinier Christian, 1992, « Productivité adverbiale des adjectifs ? » Langue française n° 96, décembre 1992.

Neologica, revue internationale de néologie, un numéro par an depuis 2007, aux éditions Classiques Garnier (dans des articles, des comptes rendus ou dans la bibliographie de la néologie). Le n° 10 (2016) porte sur « néologismes et corpus », avec, entre autres, un article d’Antoinette Renouf.

Nyckees Vincent, La sémantique, Belin, 1998.

Plag Ingo, 2006, "Productivity". In Aarts , B. & A. McMahon (eds.) Handbook of English linguistics. Oxford: Basil Blackwell, pp. 537–556.

Poitou Jacques, 1984, « Théories de la naturalité en morphologie », D.R.L.A.V. n° 31, 1984, p. 49-66. 

Poitou Jacques, 1992, « Remarques sur la création de néologismes. Productivité et acceptabilité », Cahiers du CIEL 1992, p. 47-71.

Rey Alain, 1976, « Néologisme, un pseudo concept ? », Cahiers de lexicologie n° 28, p. 3-17 

Sablayrolles Jean-François, 2000, La néologie en français contemporain “ examen du concept et analyse de productions néologiques récentes ”, Honoré Champion, 2000.

Sablayrolles Jean-François 2003, « La néologie en français contemporain », Innovazione lessicale e terminologie specialistiche nella società del plurilinguismo, G. Adamo et V. Della Valle éd., coll. Lessico Intellettuale Europeo, Leo S. Olschki, Florence, p. 205-224.

Sablayrolles Jean-François, 2006, « Métaphore et évolution du sens des unités lexicales », Cahiers du CIEL 2000-2003, Université Paris 7, p. 109-124.

Sablayrolles Jean-François, 2010, « Néologisme homonymique, néologisme polysémique et évolution de sens. Pour une restriction de la néologie sémantique », in Alves Ieda Maria (Org.). Neologia e neologismos em diferentes perspectivas, São Paulo : Paulistana, CNPq, p. 83-100.

Ullmann Stephen, [1952] 4e éd 1969, Précis de sémantique française, A. Francke S.A. Berne.

Wagner Robert-Léon, 1969, Préface au Dictionnaire des mots sauvages de M. Rheims, Paris, Larousse.

Winter-Froemel, 2009, « Les emprunts linguistiques : enjeux théoriques et perspectives nouvelles », Neologica n° 3, p. 79-122

 

Consignes (2017) pour la rédaction d’articles pour Neologica 

  • Fichier word en .doc, docx ou .rtf, en Times 12, interligne : continu, et en 11 pour les notes infrapaginales et les longues citations mises en retrait d’1cm à gauche et à droite, entre deux lignes blanches.
  • Pas de mise en forme automatique (surtout pas de feuille de style : texte « au kilomètre », y compris pour les titres, en respectant les normes suivantes :

1. gras

1.1. gras et italiques

1.1.1. italiques

1.1.1.1. (ni gras ni italiques)

  • Opérer un retrait (tabulation) en début de chaque paragraphe (sauf si c’est le commentaire d’une citation qui précède immédiatement).
  • Majuscules accentuées : À, É, Ê, etc.
  • Guillemets français avec espaces insécables (pour les textes ou parties de textes en français) et guillemets anglais doubles (“X”)  à l’intérieur d’un passage déjà entre guillemets.
  • Italiques pour les emplois métalinguistiques et les mots d’origine étrangère.
  • Références avec le nom de l’auteur, suivi de l’année, et de la pagination après deux points (le détail des informations est donné dans la bibliographie finale, et pas en note).
  • Bibliographie : nom (en petites capitales sauf l’initiale) Prénom (année), « titre article », titre ouvrage, éd. pour les éditeurs, ville, maison d’édition, p. 1-9.
  • Notes de bas de page en numérotation continue pour l’article.
  • Éviter les soulignements et le gras (dans la mesure du possible).
  • Longueur des articles : entre 25 000 et 40 000 caractères tout compris (espaces et notes, mais sans les résumés).
  • Fournir un résumé en français de 500 signes maximum, à la fin de l’article, et des mots-clés en français (5 au maximum).
  • Fournir un résumé en anglais (500 signes maximum) et des mots-clés en anglais (5 au maximum) en fin d’article après la bibliographie (tous sont ensuite rassemblés en fin de volume).
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